| Sujet: Je suis Art H. Harlow Mar 28 Avr - 2:10 | |
| Art H. Harlow The White Knight Nom complet : Art Harper Harlow Surnom(s) : Arty Identité : Secrète Age : 19 ans Lieu de naissance : Pantis, Xuthietera Date de naissance : 16 Juin 1995 Nationalité : Américaine Race : Non Humain : Interne Taille : 1m82 Poids : 62kg Yeux : Marron Cheveux : Bruns Statut civil : Célibataire Origine du pouvoir : Biologique Type de pouvoir : Surhumain Affiliation : Super-Héros Métier : Simple portier dans un Hôtel quatre étoiles feat: Kim Hyun Joong Biographie Les doux battements de deux cœurs s’unifiaient dans la chaleur de la nuit. Une chaleur commune sur le monde de Xuthietera. Là où vivent les Internes, des créatures ressemblant à des êtres humains, mais dotés d’une espérance de vie accrue et d’un système immunitaire exceptionnel. Ce monde était loin de la Terre, à quelques années lumières, là où les humains ne pourraient les voir, retrousser dans la peur d’une future attaque, les Internes avaient muté, avaient évolué. Ils créèrent un système de classement parfaitement adapté selon la session d’entrainement dirigé par les Sages, les personnes les plus intelligentes et les mieux informés, elles contrôlaient les sujets, les citoyens et autres personnes inférieures aux Nobles, les riches du peuple. La session d’entraînement, où plus communément appelés l’Épreuve, se formait de six catégories dont une qui signifiait la fin d’une vie : Les Sages, les Nobles, les Soldats, les Travailleurs, les Serviteurs et les Imprédictibles, cette dernière notifiait que la personne en question n’était d’aucune utilité et qu’elle devait tout simplement disparaître, mourir en autre.
Les Nobles étaient de grande personne, autant vénérée que crainte, elles jouissaient de tous les pouvoirs qui puissent exister en leurs lieux : Et ceux, même de concevoir un être de chair. Leur monde était dirigé d’une part par des Sages satiriques qui redoutaient les véritables Internes, ceux issus des longues lignées de Nobles et que leur destin n’était point connu, oui, car les Sages avaient créé une usine pour pouvoir créer toutes sortes d’Internes encore bébé qui n’attendaient qu’à être adopté, ils avaient peurs de ne pas pourvoir contrôlé et avaient finalement décidé de ne laisser que les Nobles procréaient, mais seulement une progéniture par maison ; et d’autre part par les Imprédictibles, des rebelles contraints de s’engouffrer dans les profonds égouts, qui ne voulaient qu’une chose de véritable descendance. C’était une sorte de guerre silencieuse, les malheureux n’avaient d’autre choix que de mourir sous les joutes des plus puissants, sans moyen de retour pour sauver leurs misérables vies.
Le roi absolu n’avait jusque-là aucun enfant pour le remplacer et sa vie commença à prendre petit à petit fin, et après mûr accouplement avec la reine, qui avait, grâce aux médecins de la cour, utilisé toutes les solutions possibles, la dernière étant la plus dangereuse, une potion contenant un poison spécial pour la création brutale d’un être Interne, mais les risques étant qu’elle risquait d’y perdre la vie. Malgré tout, elle voulait réjouir son roi et donnait sa vie et un fils avant de succomber au poison. Enfin ! Elle portait non pas un, mais deux enfants. La jouissance ne fut guère de longue durée, les Sages ne devaient pas être au courant avant l’accouchement, au quitte de tuer l’un des deux bébés.
Nuit et jour, la mère avait prié pour que l’enfant disparaisse de son corps, que l’un des deux puisse mourir. Nuit et jour, elle avait espéré que la duperie qu’elle menait auprès de son roi ne lui couterait pas plus que sa vie et celle des enfants, oui car le déshonneur et la mort de sa famille étaient en jeu, avoir plus d’un enfant était une trahison envers le pays et le roi, c’était quelque chose d’interdit. Nuit et jour, elle avait attendu à son chevet, les larmes perlant sur ses mirettes.
Et finalement, les médecins de la cour étaient venus le jour fatidique, ils avaient gardé le secret à la seule condition que l’un des deux bébés meure sur le champ. La servante de la reine s’était armée d’une dague pour tuer l’un des deux enfants se préparant à sa future mort. Cette dernière regardait la reine, sa reine, accouchée dans les dures douleurs de l’accouchement, le teint pâle, elle se mourrait pour faire sortir sa descendance, dans l’espoir de voir un tant soit peu le visage d’une de ses deux progénitures. Mais le monde avait fait que seule la surprise naissait sur le visage des médecins. Une surprise qui se transforma en frayeur, de la peur, de la crainte; l’enfant était né. Mais pourquoi le regarde-t-il ainsi ? Pourquoi ont-ils soudainement peur ?
-Il…Il n’y en a qu’un ? Bégaya l’un des médecins en sentant deux énergies vitales venant de l’enfant. -Ce n’est pas quelque chose d’Interne…Il ne doit pas vivre… Continua un autre, réalisant le miracle maléfique qui s’était produit. -Que se passe-t-il... ? Demanda la reine, d’une voix tremblante, presque en train de s’éteindre sur le lit.
La servante voulut ouvrir la bouche, mais les médecins lui firent faire demi-tour dans ses futurs propos. Ils annoncèrent à la mère que les deux enfants étaient morts, dans leurs plus grandes déceptions, une larme perlait sur la joue de la mère avant de mourir. Mais là n’était pas la vérité. Il n’y avait qu’un enfant… Mais la vérité était qu’il avait entièrement absorbé son frère. Un corps pour deux âmes. Voilà comment on pouvait le voir. Les médecins en avaient peurs, si les Sages l’apprenaient cela aurait prit des proportions démesurées : la mort de tous les témoins, et de l’enfant. Ce n’était pas quelque chose d’Interne, comme l’avait dit un des médecins, la progéniture devait disparaître. Loin de là. Loin de tout. Ce fut pourquoi que dès que la nuit tomba sur la ville que la servante s’absenta du manoir pour abandonner l’enfant, à l’entrée des égouts dans l’espoir que les Imprédictibles le trouvent, avant de mourir : c’était la loi des Internes, les serviteurs qui perdaient leur maître devaient se donner la mort, sinon ils devenaient des rejets et se faisaient tout de même tuer par les Soldats gouvernés par les Sages, ceux à l’issue des lois. Une fois rentrée, la voilà pendue dans sa chambre…
Les longs pleures de l’enfant résonnèrent à l’entrée de l’égout, et une ombre se créa près de l’entrée, une femme, aux cheveux roux, ses vêtements délabrés montraient qu’elle vivait dans les égouts, c’était donc une Imprédictible.
-Mais qui t’as abandonné ici toi ? Se demanda la jeune femme en prenant l’enfant dans les bras pour le réconforter. Tu…Tu pleures ?
Sa surprise fut grande quand elle s’aperçut que c’était bel et bien un véritable petit bébé, son énergie vitale l’affirmé tout autant. Elle rentra dans les égouts pour retourner dans la ville sous-terrain pour montrer sa trouvaille plus que surprenante. La jeune femme arriva à toute allure dans les quartiers de son mari, qui fut étonné par son apparition soudaine. Elle lui montra l’enfant, croyant d’abord que c’était un piège fait par les Sages pour découvrir où vivaient les Imprédictibles, il se rendit compte que c’était bel et bien un vrai enfant et qu’ils n’oseraient jamais utiliser la progéniture d’un Noble.
-C’est vraiment un enfant… Essaya le mari de la femme de se convaincre que cela en était un. -Je pense que je devrais le remettre aux mains d’Urates, lui qui n’a pas réussi à avoir d’enfant de sa femme.
Et elle partit sous les accords visuels de son mari. Dès remit en main propre, la ville entière apprit la future descendance d’Urates, prestigieux et courageux chef qui dévouait corps et âme à la libération de son peuple. Il était heureux, sa femme l’était tout autant et le lait était à profusion, rien ne manquer. Mais quelque chose semblait ne pas aller, bien que cela était trop petit pour se faire voir, l’enfant était tiraillé par ses deux entités, ses deux âmes qui avaient disparu jusqu’à l’adolescence.
L’enfant abandonné qui fut par la suite adopté par le grand dirigeant des Imprédictibles se fit nommé Lucian, comme le nom de leur satellite qui pouvait réchauffer le cœur des malheureux, c’était comme ça qu’ils avaient voulu l’appeler. Lucian avait vécu comme n’importe quel autre enfant bien que sa situation était nouvelle, il était le premier petit louveteau à se retrouver dans le monde des Imprédictibles à un âge aussi jeune. Mais cela ne faisait différence. Il avait vécu comme le fils du dirigeant du village et était aimé pour sa douceur, la même douceur que sa mère adoptive.
Malgré tout, Lucian atteignit son âge d’adolescent, 14 ans en âge humain, et son entité resurgit, déchiré par ses deux côtés, il se fit tout de même accepté par la communauté. Lucian, de son vrai côté, était une personne agréable, timide, il faisait confiance à tout le monde et était une personne très calme et sage. Mais l’autre bord n’était que violence, méchanceté et fourberie, c’était l’exact opposé de Lucian. Tout allait bien, tout de même, il était chanceux de vivre calmement avec tout le monde. De vivre sans oppression des Sages et des Nobles.
Mais les jours heureux tombèrent dans l’océan des larmes et du sang. Les Sages avaient finalement trouvé leur repaire, ils envoyèrent des centaines et des centaines de Soldats pour les exterminer un à un. Au prix de leurs vies, les Imprédictibles protégèrent leur dirigeant en l’envoyant hors des égouts, humilié et démoraliser par la mort de tous ses congénères, il s’enfuit avec sa femme et son enfant vers la grande machine, la machine interdite que même les Sages n’osaient utiliser. Rien ne disait qu’ils allaient survivre, mais Lucian était important, ils se devaient de le mettre en sécurité, de le sauver de ce monde. La machine finit par s’ouvrir, Urate y fit rentrer tout d’abord son fils puis sa femme, mais les Soldats avaient réussi à percer et dans un dernier baiser d’adieu, il fit démarrer la mystérieuse machine qui se décolla du sol pour aller de plus en plus haut, de plus en plus loin dans l’espace.
Les deux êtres le voyaient se battre, jusqu’à qu’il perde la vie. La tristesse serrait le cœur des deux êtres. Mais les jours passèrent et la faim se faisait sentir, il ne restait plus beaucoup d’eau et de vivre, la seule solution était de conserver la vie la plus sure, et la mère abandonna toute idée de survivre, seul Lucian était important…Seul lui… Elle mourut deux jours avant que la mystérieuse machine s’abandonne quelque part sur la Terre, en Amérique. Il brûla le corps de sa mère dans la machine. Comment allait-il vivre ?
Cinq ans passèrent, il s’était fait une nouvelle vie, en tant qu’Art Harper Harlow, un jeune homme très fort pour aider du mieux qu'il pouvait les autres en tant que portier dans un hôtel, n'ayant pas encore atteint la vingtaine. Il était diffèrent des humains, son corps résistait en mieux ou en pire aux maladies de ce monde, et puis il semblait qu’il avait acquis un pouvoir…tout comme son entité. Cela c’était passé ainsi… Son corps butta soudainement le mur et trois gros voyous lui étaient tombés dessus, il avait autant de malheur qu’un Imprédictible.
D’un air désolé, il se releva pour s’excuser faiblement, mais les brutes ne semblaient pas le laisser partir. Art était le plus faible des deux, surement quand contre partit d’avoir absorbé son frère, lui-même avait pris de sa force initiale, c’était une contre partie à ça. Il avait fini par avoir un passage à tabac complet, mais au passage, il laissa une légère morsure sur l’une des brutes, par pur réflexe sans doute. La grosse brute s’étant senti plus forte avait continué à le torturer de coup de pieds, le laissant presque mort dans la rue, sans sa résistance accrue envers les coups, notre jeune Art aurait fini à la morgue, mais la c’était seulement l’hôpital et ô combien l’hôpital est chère pour les roturiers dans son genre. Mais quelque chose de bizarre l’avait fait ressasser le passage à tabac, aurait-il eu une poussée d’adrénaline ? Se demandait-il intérieurement. Et finalement après avoir quitté cette affreuse demeure qu’étant l’hôpital, il alla, dans un instant de folie, capturer des petites bêtes pour les mordre doucement.
C’était stupide, mais sans quoi il n’aurait jamais découvert qu’il pouvait, grâce à une simple morsure de ses crocs, décupler les capacités des êtres vivants, il s’était amusé de voire des écureuils courir à toute vitesse sur les arbres, ou même voire des oiseaux martelés les arbres pour les regarder tomber de plein fouet sur le sol. Son entité avait un autre don celui d’annuler les pouvoirs sur un certain rayon, sept mètres environ, cela c’était prouvé quand sa personnalité avait fait volte-face et il s’était retrouvé en face d’un mutant assez énervé, il avait été plus que surpris de voir que ces pouvoirs étaient plus qu’inutilisables, réjouissant par la même occasion le jeune Drake, il s’était spécialement nommé Drake Darrel Conway.
Depuis quelque mois maintenant en voulant sauver la veuve et l'orphelin, Art s'est entreprit de devenir un super héros. S'étant ainsi vêtu d'une grande cape blanc immaculé, muni d'un grande capuchon et d'une masque de grande couleur, le voilà partit. Il est appelé White Knight. Mais le plus dur serait de garder son identité secrète face aux humains mais à Drake. (Drake ne peut savoir ce que fait Art quand il est dominant et vice-versa) NB : J'essayerais de faire le costume en dessin. Personnalité Art n’est pas quelqu’un en qui on voit un étranger, en qui on pourrait voir un hypocrite, non. Ce petit bonhomme est une personne très sensible, il n’oublie jamais de rendre l’appareil quand quelqu’un l’a aidé et même d’aider quelqu’un sans attendre quoique ce soit d’autre. C’était quelqu’un de très calme et timide, tellement timide qu’il lui arrive de s’emmêler dans ses mots quand il voit une personne admirable, facilement éblouis, c’est sa nature d’âme qui lui fait faire des amis.
Malgré tout, il est quelqu’un de très naïf, et parfois légèrement lunatique et rêveur avec une confiance aveugle qui est facilement capturable, peut-être importe les sales choses qu’il peut vivre, si cette personne lui demande son pardon, au diable les rancuniers, il le pardonne aussi facilement qu’un claquement de doigt, toujours muni de son sourire innocent, il cache au fond de lui quelque chose de s’ombre. Art aime tout le monde et pour le bonheur il ferait n’importe quoi, il considère Drake comme un malheureux dont il n’a pas eu la chance d’avoir son propre corps, il a pitié de lui et parfois à tendance par lui apporter de la compassion par l’aide de son téléphone, il enregistre un petit message mais bon ça marche pas tellement.
C’est Drake, son fameux côté s’ombre, et c’est exactement son coté opposé, il n’en a que faire des gens, les aider ? Il faut payer, en nature ou en argent, il ne prévoit pas de faire des exceptions. Il est odieux, égoïste, égocentrique. Il a tout pour le détester. Malgré qu’il porte un sourire, celui-ci n’est rempli que de dégoût envers vous, il se fout bien de votre gueule quand il vous voit. Mais il est physiquement plus fort qu’Art, et beaucoup plus rapide. Les coups de traître ça le connait. Drake prend un malin plaisir à vouloir faire tomber Art dans le désespoir, en lui faisant réaliser et croire que le monde ne veut pas de lui, ect, ect...
Et il se bat mieux que son entité contraire, c’est un vrai casse-cou, et au moindre regard qu’il n’aime pas, la bagarre se fait sentir de près. Il déteste tout, et pourtant aime la chair humaine et le meurtre, il a un coté matérialiste, si Art ne résistait pas parfois pour le faire rester à sa place, il serrait un ouragan en pleine ville. Il n’est que destruction… En gros c’est le contraire d’Art. Habilités -Art peut décupler les pouvoirs et/ou les capacités d'autrui par une simple petite morsure (Qui fait comme même mal) pour une durée déterminée de 10min environ. -Niv 2 du pouvoir d'Art : Sa durée augmente de 30mn : à débloquer
-La personnalité d'Art, Drake en autre a la capacité d'annuler toutes sortes de pouvoir sur un rayon de 7m. -Niv 2 du pouvoir de Drake : Son rayon s'étant à 15m : à débloquer
Les Internes ont une espérance de vie et une peau résistante accrue par apport aux humains, ils ont aussi une immunité envers les maladies des humains mais pas toutes, certaines peuvent leur être fatal. Quand Art a absorbé le corps de Drake, Drake a prit sa force, ce qui fait qu'il est deux fois plus fort et que Art est deux fois plus faible. PS : Je ne sais pas si je devais le mettre (Et si je devais le poster ici) mais le sang de mon Art est bleu. C'est peut-être une info utile...
Derrière l'écran Prénom/pseudo : Andrew Age : 17 ans Comment avez vous connu le forum ? : En regardant forumactif ou plus précisément les forums sur Marvel. Autres comptes ? : Non Un mot pour la fin ? : Vive les Schizos !
Dernière édition par Art H. Harlow le Mer 29 Avr - 17:03, édité 7 fois |
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