| Sujet: Steve Rogers - A la santé des gringalets ! [100%] Dim 8 Fév - 23:11 | |
| Steven Rogers Captain America - The First Avenger Nom complet : Steven Rogers Surnom(s) : Steve, Captain, Cap. Identité : Connue Age : 95 ans sur le papier. Lieu de naissance : Brooklyn, New York City. Date de naissance : 4 Juillet 1918. Nationalité : Américaine. Race : Humain. Taille : 1m87. Poids : 99 kg. Yeux : Bleus. Cheveux : Blond. Statut civil : Célibataire et dépassé. Origine du pouvoir : Expérimentation scientifique - Sérum du super-soldat. Type de pouvoir : Surhumain. Affiliation : Aucune. Métier : Agent du SHIELD Feat : Chris Evans Biographie Toute vie commence par une naissance .... J’ai vu le jour à Brooklyn, dans l’Etat de New York, le 4 juillet 1918 au sein d’une famille d’origine irlandaise. Un enfant de l’Amérique. Qui aurait pu prédire mon avenir ? Qui aurait pu connaître l’ampleur de mon destin ? En somme, un garçon comme les autres, mais à mesure des années, ma croissance s’est avérée problématique. Souffrant de nombreuses maladies et ayant hérité d’une santé miteuse, j’ai, dès l’enfance, dû faire face à certains obstacles. Si je ne brillais pas d’atouts potentiels évidents, j'étais, néanmoins, très habile avec un crayon à la main pouvant donner libre cours à mon imagination et m’évader. Je dessinais ce que la vie m’inspirait, le soldat que je pourrais être. Mon père, au retour de la première guerre mondiale n’était plus le soldat que mes souvenirs ont conservé de lui dans ma mémoire. Notre situation familiale étant des plus déplorables, mon père, et son alcoolisme d’après-guerre, enchaînait les périodes de chômage, ma mère, infirmière, faisait en sorte de joindre les deux bouts. Mon grand-père, dont j’étais très proche, fut ma plus grande inspiration, mais aussi un modèle de droiture et de bravoure, alors qu’il adorait partager avec moi ses expériences passées. Mon père décéda quelques années plus tard, plongeant notre famille dans un gouffre sans fond. Ma mère devait subsister seule aux besoins de la famille, n’étant déjà pas bien riche. L’adolescence ne me réussit pas plus. J’étais plus petit et plus chétif que chacun des garçons qui passait mes classes, qu’on me prit vite pour celui à qui l’on réservait les meilleures crasses, mon entêtement et ma hargne poussant les plus forts que moi à s’acharner sur mon compte et me pourrir la vie. Mais jamais je ne renonçais, jamais. Je partais du principe qu’ils finiraient par se lasser. Je ne les craignais pas, et aucun d’eux n’eurent ma peur. Et dans les coups les plus durs comme dans les meilleurs instants, il y avait Bucky. James Buchanan Barnes. Mon ami d’enfance, cet orphelin que la vie n’a pas épargné, le seul à prendre ma défense et à témoigner de l’estime à mon égard. Si tout nous opposait, l’inexpliqué nous liait. Nous étions les mêmes gosses, les mêmes adolescents, les mêmes jeunes hommes. On agissait l’un pour l’autre comme deux frères que la vie ne pourrait séparer. Il avait un mental d’acier et une force de caractère tels que je rêvais de l’égaler. Bucky. Les années lui avaient plutôt bien réussi, il était toujours accompagné des plus jolies femmes qu’il m’arrivait d’apercevoir de loin tant j’étais invisible et on ne peut moins doué, avec ces dernières. On se disputait constamment, et pourtant, je savais que toujours je pourrais compter sur lui, et lui sur moi. J’en avais fini par croire à un idéal qui m’attendrait quelque part, une femme faite pour moi qui serait prête à me voir pour ce qui je suis et m’apprécier pour ça. Qui verrait en moi autre chose qu’un homme de petite taille, sans grand avantage, et qui aimerait ma sincérité, mon sens de l’honneur et ma loyauté. Ma mère décède peu après l’obtention de mon diplôme au lycée, des suites d’une infection tuberculeuse là où elle travaillait, exposée à tous les risques. Seuls au monde, Bucky et moi ne cessions d’aller de l’avant. J’ignore ce que je serais devenu si je ne l’avais pas rencontré. Je m’inscris à l’université des beaux-arts et en fut diplômé lorsque la guerre nous rattrapa. Tous les hommes en âge de s’enrôler furent réquisitionnés pour rejoindre US Army et repousser les forces nazies qui gagnaient du terrain. Bucky eut très vite son affectation, alors que j’enchaînais les tentatives, falsifiant mon dossier, dans l’espoir d’un avis favorable, sans succès. Le soir de l’inauguration du « monde de demain » organisé par Howard Stark, il m’apprit qu’il serait affecté à la 107e d’infanterie comme l’avait été mon père par le passé. Il me fallait en être. Intolérable serait que je reste cloué au sol alors qu’il irait combattre en Europe pour que triomphe la liberté. Cette guerre on la gagnerait ensemble ... Il ne comprenait pas mes tentatives inespérées d’intégrer l’armée bien que je lui ai expliqué maintes fois, les fondements de ma décision. Il s’agissait bien plus que d’une obligation pour moi, il s’agissait d’un devoir. Un devoir de servir mon pays, d’en être digne. On se sépara ce soir-là, alors que je retentais une cinquième fois ma chance au poste de recrutement plutôt que de profiter d’une dernière soirée qui tournait déjà court pour moi. Mais ce soir-là, l’inattendu se produisit. Ma route allait croiser celle du Dr. Erskine et changer totalement ma vie. Je fus incorporé à une unité spéciale du gouvernement nommée la SSR. Cette unité formait les meilleurs soldats afin de monter un plan d’attaque en mesure de renverser la dictature d’Hitler. Les expérimentations du Dr Erskine promettaient de créer un commando de super-soldats en mesure de gagner la guerre et de défendre le pays de la moindre attaque. Mais toute armée commence avec un homme. Je serais donc le premier cobaye de sa nouvelle formule. Ladite formule qui encore en expérimentation, transforma Johann Schmidt, le bras droit d’Hitler et fondateur de l’Hydra, en Crâne Rouge. Mais je n’avais plus rien à perdre. Abraham Erskine m’avait donné une chance de rejoindre l’armée, j’étais prêt à aller jusqu’au bout. Il avait misé sur moi, et je ferais en sorte de m’en montrer digne. La veille du test, il me fit savoir les raisons de son choix et le pourquoi c’était par moi qu’il voulait que les choses commencent. Je compris l’importance de ses travaux mais aussi la dangerosité du fanatisme dont peuvent faire preuve les hommes. Exposé à une dose extrême de radiations des rayons Vita, non sans douleur, je devins le premier succès du Dr Erskine qui ne put mesurer l’ampleur de sa réussite, abattu froidement par un membre d’Hydra, le jour même. Sans avoir le temps de m’acclimater aux changements que je venais de subir, ma vie bascula une nouvelle fois. A deux doigts d’accomplir mon rêve, il me filait entre les mains. La mort du Dr Erskine remit en cause l’entièreté du projet de la SSR et je fus condamné à porter des collants, à vendre des bons pour la défense et solliciter les jeunes à s’engager dans l’armée. On me surnommait à présent « Captain America ». Mais je ne faisais toujours pas la guerre. Affublé d’un bouclier et d’un costume aux couleurs du drapeau, j’arpentais les scènes de toutes les villes américaines, sous le joug du sénateur Brandt. La situation ne me plaisait guère, mais avais-je d’autres options ? A mesure que les mois passaient, j’avais fini par me laisser prendre au jeu, être le symbole du rêve américain, représenter mon pays, j’aurais presque pu éprouver de la fierté ... sauf que je me leurrais... C’est alors qu’on m’envoya en Italie en novembre 1943 pour motiver les troupes. Mais le public fut moins réceptif que prévu. Je pris enfin conscience de la mascarade à la tête de laquelle j’étais. Le sénateur Brandt m’avait fait briller les yeux en me prétendant l’enfant chéri de l’Amérique, mais en définitive, je n’étais pas un soldat, du moins pas au sens premier du terme. Pas au même rang que le public qui me faisait face à cinq miles du front et qui avait connu l’enfer. J’entraperçus alors une porte de sortie. Une porte de sortie qui portait le nom de Bucky. Quand Peggy vint m’apprendre que 200 hommes appartenant à la 107e division étaient retenus prisonniers par Hydra et qu’aucun plan n’était prévu pour les ramener, mon sang ne fit qu’un tour. C’est à ce même instant que je saisis qu’un véritable amour naissait entre Margaret Carter et moi. Elle était prête à me soutenir quand bien même elle savait que ses actions seraient désapprouvées et qu’elle devrait répondre de ses actes. Peut-être même n’attendait-elle que ça. Elle était la seule ici à croire encore en moi, la seule à avoir eu foi en mes capacités à l’instant même où nos regards se sont croisés au camp Lehigh. Bien que n’ayant que trop peu d’expérience à l’égard de la gent féminine, je ressentais cette ardeur que j’espérais, partagée. Mais l’heure n’étant pas aux batifolages, elle me permit avec l’aide d’Howard Stark, de me parachuter au plus proche de la zone de détention dans la base secrète d’Hydra. L’heure était venue de faire mes preuves. Je ne pris que mon bouclier et un casque, dérobé à l’une des danseuses qui m’accompagnaient. Le Captain entrait vraiment en action. Revenant victorieux au campement et encadré des meilleurs soldats que cette Terre ait porté, je fus fin prêt à témoigner à l’Amérique qu’elle venait de trouver son sauveur. Howard Stark mis au point un uniforme digne de ce nom et je remplaçais mon bouclier par un disque en vibranium, un métal très rare, forgé par le métallurgiste Myron McLain peint aux couleurs de l’Amérique. Les missions qui suivirent pour éradiquer l’Hydra de la carte du monde, je les menais avec mes hommes, les célèbres soldats des commandos hurlants et bien sûr avec Bucky. Mais si nos victoires étaient plus nombreuses que nos échecs, une mission en Russie me fit perdre mon meilleur ami alors que nous combattions l’un aux côtés de l’autre. J’en restai inconsolable. Ma rage et ma colère m’entraînèrent à pourchasser Crâne Rouge, toujours en possession du cube cosmique, jusqu’aux confins des Alpes et stopper sa fuite à bord de son vaisseau de guerre. Un affrontement s’ensuivit causant de larges dégâts à l’appareil. Obsédé par la puissance du cube, le Crâne Rouge meurt, désintégré par le Tesseract qu’il tenait dans sa main. La puissance des Dieux qu’il disait. Le cube sombra dans l’océan Arctique. Le cadet de mes soucis. ... et s’achève par un décès ... enfin presque. Le vaisseau très endommagé lors de notre altercation, mais équipé de bombes prêtes à exploser une fois la frontière du sol américain franchie, ne laissait se profiler devant moi, qu’une seule option. Bucky avait fait le choix de combattre à mes côtés coûte que coûte. Il avait été tout aussi décidé quand il avait vu la situation lui échapper. Je ne pouvais pas risquer plus de vies que cette guerre en avait déjà causées. Dans un dernier appel, je contacte la base, le colonel Philips me prend en ligne avant que me parvienne la voix cristalline de Peggy. Mais mon choix était fait. On se fit nos adieux à notre façon, sans jamais rien se dire, sa voix tremblait sous les sanglots, je compris qu’elle pleurait. Ma décision m’arrachait à elle, à cette vie que j’aurais pu avoir près d’elle, à la seule femme que j’avais espérée depuis tant d’années. Je bascule les commandes en avant et l’avion entame sa descente. Je perdais de l’altitude, à une vitesse vertigineuse. Mais je ne pensais qu’à elle. Pas à la mort, vagabonde. L’impact survient, brutal. Surement ai-je perdu connaissance à cet instant-là. Le vaisseau a continué de s’enfoncer et de creuser ma tombe. Sous des températures glaciales, me plongeant dans un profond, si profond sommeil, je sombrais en hibernation. Le monde me déclara mort ... et la vie continue ... ... Je respire à nouveau. Le réveil est cotonneux. Je m’efforce de remettre les choses en ordre, de comprendre où je me trouve, et comment je suis arrivé là. Néanmoins, une telle action me vrille le crâne. Le plongeon en arctique ... Peggy ... Bucky ... Qu’est-ce que je fais ici ? Que m’est-il arrivé ? Je me relève doucement et m’assois sur mon lit ? Quel lit ? Je surprends la transcription radio d’un match de football américain qui date de 1941 ... Un match auquel j’ai assisté. C’est alors que pénètre cette jeune femme dans ma chambre m’informant que nous sommes à New York. Une femme que je n’ai jamais vue auparavant. A la façon dont elle me regarde et dont elle s’exprime à moi, tout me crie de me méfier. A la question que je lui pose, je la sens totalement se décomposer devant mes yeux. Et pas plus de quelques secondes plus tard, débarquent deux hommes armés. Irrémédiablement, je fuis. Mais je ne vais pas très loin. Mes idées sont embrouillées, je ne comprends rien de ce qu’il se passe. Arrivé à l’extérieur, le dépaysement total. Je manque de me faire écraser par deux ou trois voitures et finis par stopper ma course lorsque retentit une voix derrière moi. Nick Fury. Il ne traîne pas et va à l’essentiel. 70 années de ma vie viennent de s’écouler, sans que je ne les voie passer. Ma modification génétique m’a permis de me tenir en sommeil durant tout ce temps. L’information est dure à encaisser. Je me sens téléporté dans un tout autre monde, privé de tout repère, de toute attache. Les mois se succèdent les uns aux autres, mais j’ai toujours 70 ans à rattraper. J’apprends que de la SSR est né le SHIELD. C’est donc tout naturellement que je rejoins les rangs, sans véritablement savoir où est ma place. L’acclimatation est difficile, il me faut intégrer un nombre considérable d’informations, de personnalités, de positionnements. Intégrer les évolutions qu’a connu le monde et de savoir comment, aujourd’hui, il raisonne. Les scientifiques des temps modernes ont élargi leur savoir au-delà même de la galaxie instaurant la connaissance d’une multitude de mondes et de planètes peuplés d’êtres « extra-terrestres ». La science progresse et se dépasse même. La terre regorge d’êtres mutants aux capacités diverses et spéciales, rendant ces êtres exceptionnels. Certains agissent pour leur propre cause, d’autres pour défendre le bien ou le mal. Les légendes se précisent et le SHIELD fait en sorte d'assurer longévité et protection à notre monde. Et moi dans tout ça, je suis un soldat. Avec l’avantage de ne plus être le seul ayant subi des transformations me rendant surhumain. Seulement, l’échelle est un peu plus démesurée aujourd’hui. Alors, je prends note et m’adapte au mieux pour survivre dans ce monde dont je ne saisis pas encore l’étendue ni même la perspective. Certains seront mes alliés, d’autres mes ennemis. Au final, tout ne se résume qu’à ça. Quoi qu’il advienne, il s’agira toujours de combattre et de veiller, communément admis, de s’entourer des bonnes personnes, des meilleures d’entre elles. Personnalité Ce qu'il pourrait être dit de moi ? C'est qu'il y en aurait des personnes à interroger mais beaucoup d'entre elles ne sont plus là pour en témoigner. Ce qui marque le plus, reste certainement mon sens exiguë pour la justice et mes idéaux que je défends corps et âme. Vouer ma vie à défendre ma nation et me battre pour la liberté, au péril même de ma propre vie, est, sans nul doute, ce pour quoi je suis fait. Le don de soi, l'humilité et le sens du sacrifice façonnent ma personnalité. Un sens moral exacerbé, je ne renonce jamais devant rien et préfère m’acharner plutôt que renoncer. En grand défenseur de la juste cause, j’ai toujours revendiqué une personnalité en marge, effacée et peu extravertie. Cette impression, omniprésente, d’être toujours le premier à me dresser devant plus fort que moi, convaincu de suivre cette voie qui me guide et défère mes actes. Ressentant au plus profond de mes tripes, le devoir d’agir au-delà même de mes capacités et de ce qui est permis, dans un imaginaire que je m’octroie d’un moi plus grand, plus fort, plus héroïque dont mes dessins en conservent la trace.
Depuis ma modification génétique par la section scientifique de réserve faisant de moi un super-soldat, si tout mon corps a changé, me rendant plus grand, plus fort et capable de décupler mes capacités, mon mental est resté le même. Je n’ai pas changé. La présence des femmes m'aventure toujours autant de faux pas, et ce côté trop sérieux, trop ferme, trop rigide du bon soldat, m’engage à quelques désaccords, mais je travaille sur tout ça. 70 ans dans la glace, sans rêve, sans sensation, sans conscience, ne m’ont pas aidé. Je souffre de nombreuses inadaptations mais cherche, peu à peu, à combler mes lacunes et à m’intégrer à un monde que je ne comprends pas. Qui n’est peut-être plus fait pour moi ...
Un être atypique ? Je reste convaincu, que même si le monde n’est plus celui que je connaissais, celui dans lequel j’ai grandi et évolué, les valeurs que je représente ne sont pas obsolètes et continuent de perdurer dans ce monde-là. Il y aura toujours des guerres à mener, des causes à défendre, des vies à sauver. On ne détruit pas un symbole. Et si ce fardeau pesait lourd sur moi par le passé, je suis prêt à l’assumer à 100%. Il ne s’agit pas de moi. Seulement d’un combat. Il n’a, je crois, jamais été question de vivre ma vie, mais de la mettre à profit pour quelque chose de plus grand. Et parfois m’envahit cette sensation diffuse, d’être sans être. Au gré des victoires et des conflits que la vie engendre.
Habilités - HABILETÉS PHYSIQUES - ● Force : Mon système étant quatre fois supérieur à la normale, je peux facilement soulever 500 kg à bout de bras sans effort. Prendre conscience de mon nouveau corps fut à l’arraché des situations que j’ai vécues, toutes dans l’urgence, n’ayant vraiment à me demander si je résisterais ou pas. Sauter de 20 mètres de haut ne me pose aucune difficulté autant qu’effectuer des sauts de 5 mètres de haut et cela sans ne déplorer aucune blessure. Acquis● Endurance : Entretenir ma forme physique, il fut une époque où courir plus de quelques minutes me paraissait un vrai dilemme. Actuellement, je peux courir plusieurs heures sans me sentir essoufflé. Ma récupération est très rapide. Acquis● Agilité et vitesse : Bien que pesant pas loin de 100 kg, je reste très agile et très rapide pouvant atteindre des pointes de 60km/h. Mon corps ne m’impose que peu de limites bien que ne pouvant prétendre survivre à tout. Acquis● Guérison : Le sérum ayant affecté mes muscles mais aussi mes cellules, je guéris plus rapidement de mes blessures et surtout plus vite que la normale. Pas plus de deux jours suffisent pour me rétablir d’une blessure par balles et résister à d’autres types de blessures mortelles. Dès 1000 pts- CAPACITÉS - ● Combat : Je suis un expert en combat rapproché et n’hésite jamais à provoquer l’offensive. Les armes à feu n’ont pas de secret pour moi, toutes améliorations ont-elles pu subir. Je manie également les armes blanches. Acquis● Réflexe : J'ai de très bons réflexes qui me permettent, par exemple, d'esquiver un couteau lancé dans ma direction. Acquis- GADGETS – ● Bouclier : Mon bouclier en vibranium jusqu’alors indestructible est mon arme principale. Il m’accompagne dans tous mes combats et fait une arme redoutable contre l’ennemi. Il peut renvoyer la puissance de feu qu’il reçoit et réfléchir les tirs d’énergie. Acquis● Uniforme blindé : Mon uniforme est composé de plaques du même alliage que le bouclier qui me permet de résister aux armes à feu et aux diverses énergies. Toutefois, elles ne couvrent pas l’entièreté de mon corps et n’est pas aussi efficace que mon bouclier. Dès 1000 ptsDerrière l'écran Prénom/pseudo : Bribri Age : Un âge avancé ^^ Comment avez-vous connu le forum ? : Via le top-site PRD Autres comptes ? : Nein. Un mot pour la fin ? : Merci Stan Lee !
Dernière édition par Steven Rogers le Jeu 23 Avr - 21:38, édité 31 fois |
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