Une chatte Noire près d'un coffre brulant (Nova/Felicia)

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 Une chatte Noire près d'un coffre brulant (Nova/Felicia)

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MessageSujet: Une chatte Noire près d'un coffre brulant (Nova/Felicia)   Une chatte Noire près d'un coffre brulant (Nova/Felicia) Clock10Ven 10 Juil - 16:33

Une chatte Noire près d'un coffre brulant (Nova/Felicia) Tumblr_mwf2n7qKCC1qgslj0o9_r1_250Une chatte Noire près d'un coffre brulant (Nova/Felicia) Tumblr_mw81xxLjKY1qbh2jco2_r2_500


J'aimais vraiment patrouiller ainsi en survolant les avenues hors d'atteinte des éclairages publiques, cherchant ma proie et toujours à l'écoute de la fréquence de la police et aussi de celle des pompiers.
Je croisais au milieu du Rockefeller Center, un immense complexe commercial construit par la famille Rockefeller composé de dix-neuf bâtiments, situé dans le quartier de Midtown.
Je venais de quitter la 5e avenue pour couper à travers et rejoindre l'avenue des Amériques, scrutant les rues et les vitrines des boutiques de luxe les plus réputées de New York quand cela se produisit.
Vous avez certainement déjà vu dans des films de robin des bois quand ils stoppent le chariot du Sheriff et font tomber le cavalier de tête en tendant un filin en travers de la route ... Et bien là je venais de le vivre en direct, mais à 80 m du sol et 70km/h ...
Je fut littéralement arrêté un instant, puis mon corps s'arrêta et s'enroula autours de la corde et je me mis à faire des tonneaux jusqu'à aller m'encastrer dans une façade d'un immeuble de bureaux ... Il faut avouer, que même avec une armure, on sent quand même les coups, et ça fait pas du bien, et ça me met toujours de sale humeur.
Je repartis en arrière, prudemment, et retrouvais la corde qui pendait lamentablement de chaque côtés, cassée en 2 sous l'impact. Qu'est ce que c'était que ça !?! Pas une toile de Spider-man en tout cas ... D'un côté, elle était retenue par un mousqueton et de l'autre simplement grossièrement liée, un grappin encore accroché au bout. Donc, si le monte en l'air et propriétaire de ce pont improvisé était quelque part, c'était du côté du grappin.
Le bâtiment en dessous abritait essentiellement des joailliers et quelques petites agences bancaires. L'accès par le bas était hyper protégé, mes senseurs en étaient garant, mais ici, sur le toit, seule une caméra, maintenant obturée par un drôle de dispositif, assurait la surveillance.
J'examinais le "bidule" sans y toucher et en interceptant les images en provenant, je me rendis compte que mon funambule faisait passer en boucle des images rassurantes du toit vers le poste de garde ... Pas bête du tout ...
Par endroits, il y avait des capteurs au sol, facilement détectés, que j'évitais tout en suivant les traces laissées par mon monte en l'air en planant à faible altitude ... Mes détecteur thermiques me menèrent jusqu'à une bouche de sortie de ventilation dont le capot avait été ouvert puis refermé habilement. Je passais moi aussi par là et, toujours en sustentation, je descendais dans les entrailles du bâtiment en suivant cette piste fraîche ...
Au 12 ème étage, elle bifurqua vers l'intérieur et enfin rejoignit les locaux habitables dans l'arrière boutique d'un vendeur de bijoux de luxe.
Encore une fois, tous les détecteurs de surveillance avaient été neutralisés d'une façon ou d'une autre, et quand j'eu posé le pied à terre, je perçus de petits bruits et froissements venant d'une pièce à côté ... Ma proie était là, en pleine action ...
Je m'encadrais dans l'unique porte d'accès et observais la scène. Mon monte en l'air était UNE monte en l'air vue les formes que sculptait sa combinaison sombre ... De bien belles formes soit dit en passant ... Et déjà, elle plongeait ses mains dans le coffre et en retirait des poignées de bijoux et des liasses de billets qu'elle mettait prestement dans des sacs noirs en toile, montrant par là même qu'elle n'était pas une novice du cambriolage ...
Amusé, mais sur mes gardes, je toussotais ...
Hum .. Hum ... Bonsoir, vous avez commandé une pizza ? ..."
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MessageSujet: Re: Une chatte Noire près d'un coffre brulant (Nova/Felicia)   Une chatte Noire près d'un coffre brulant (Nova/Felicia) Clock10Mar 21 Juil - 14:15


épisode 1 :

une chatte noire près d'un coffre brûlant

Félicia Hardy
&
Richard Rider
Voler les riches pour donner aux pauvres. Telle était la devise de Robin des bois et c’était celle-là même que mon père avait prise pour justifier ses vols. Vols qui l’ont conduit en prison et où il était en train de mourir. En tant que fille du meilleur Black Cat du monde, je me devais de suivre ses traces. Je ne pouvais pas me permettre de laisser ce titre à n’importe qui d’autre. Après tout, je suis la fille unique du célèbre Walter Hardy ! Célèbres pour certaines personnes évidement. Les autorités se sont ventées bien longtemps d’avoir mis la main sur lui. Mais maintenant, ils m’empêchent de le voir pour éviter que je ne devienne comme lui alors que justement, c’est à cause de ça que je suis en train de me faire violence pour devenir la fierté de mon père et le libérer avant sa mort.

En attendant l’exécution de ce plan, c’est à moi que revient la charge de poursuivre sa mission pendant qu’il est dernière les barreaux. Ce soir était une mission justement pour ça. Et puis, il faut bien l’avouer, j’avais besoin d’argent pour acheter du matos histoire d’avoir des accessoires suffisamment performants pour continuer et braquer les plus grandes banques des états unis !

Bref, ce soir j’avais enfilé une espèce d’uniforme noire : pantalon, veste et hautes bottes à talons en cuir moulant avec des gants. Un simple masque fait maison venait cacher mon identité. Un jour prochain, j’aurai une véritable combinaison mais pour le moment, je dois me contenter de ce que j’ai…
Avec le minimum de matériel que j’avais, je me glissai sur le toit d’une bijouterie de renom sans me faire cadrer par la seule caméra et je la trafiquai pour qu’elle repasse la même image en boucle, celle d’un toit tranquille. Tous mes gestes étaient lents, précis et soigneusement sexy. J’aimais beaucoup faire ce que je faisais.
Je me glissai enfin dans les bouches d’aération jusqu’à atterrir dans l’arrière boutique où des bijoux de grandes valeurs y sont entreposés. Accrochée au mur telle une araignée novice, je trafiquais les caméras de surveillance et les détecteurs de mouvements ainsi que les alarmes. Comme une gymnaste au milieu d’un parcours, très élégamment et avec beaucoup de facilité, j’avais exécuté des mouvements parfaits, histoire de piller les bijoux à mon aise. Une fois sur le planché des vaches et avec un sourire de satisfaction, je sortis mes sac de tissus renforcé et je commençai à vider les coffres par poignée, comme si j’avais fais ça tous les jours, je n’eu aucun mal à les trafiquer pour les ouvrir… Après tout, mon cher et tendre papa m’avait appris tellement de choses que le crochetage de serrure était devenu pour moi un jeu d’enfant donc, ouvrir un coffre à code, n’est pas difficile pour moi ! C’en est presque ennuyeux tellement que c’est facile parfois… D’ailleurs, je pris un malin plaisir à essayer un collier que je trouvai joli, regardant mon reflet dans une porte d’un coffre. La richesse… Quelle tare quand même ! Dommage que de si beaux bijoux appartiennent à des personnes aussi pourries par l’argent… Un bijou devrait refléter la beauté de la femme et non illustrer sa richesse… Je l’enlevai et le glissai dans un des sacs, rejoignant ses congénères et de l’argent.  Repoussant ma tignasse brune élégamment de temps en temps pour me dégager la vue, je n’avais aucun scrupule de faire ce que j’étais en train de faire.
Jusqu’à ce que je j’entendis quelqu’un tousser et une réplique digne d’un héros de super marché : « Bonsoir, vous avez commandé une pizza ? » Je fis un rapide demi-tour dans un sursaut, ne m’attendant pas du tout à être surveillée. Je n’avais rien entendu et pourtant, Dieu sait combien je suis une experte dans le cambriolage et dans la discrétion ! Je vis alors un homme ou plutôt un Super-Héros… Nova ?! J’écarquillai les yeux, surprise… C’était la première fois que je voyais ! Mais d’un air amusé j’eu l’envie de lui répondre avec un sourire en coin et en l’analysant de la tête au pied sans gêne : « Non mais… Si vous en avez une, je serai ravie de la partager ! » Dis-je alors en en mettant mon poing libre sur ma taille et en me déhanchant, tenant mon sac de l’autre…
J’étais assez curieuse de voir ce qu’il allait faire face à une cambrioleuse de haut vol comme moi. Même si je n’avais aucune chance face à lui, j’avais bien envie de lui montrer que je ne comptais pas me laisser faire !



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MessageSujet: Re: Une chatte Noire près d'un coffre brulant (Nova/Felicia)   Une chatte Noire près d'un coffre brulant (Nova/Felicia) Clock10Mer 22 Juil - 12:52

Une chatte Noire près d'un coffre brulant (Nova/Felicia) Tumblr_mwf2n7qKCC1qgslj0o9_r1_250Une chatte Noire près d'un coffre brulant (Nova/Felicia) Olivia-Wilde-Pictures2


Ma cambrioleuse se retourna et se leva à une vitesse fulgurante sur ses gardes comme un chat surprit la patte dans le sac. Je m'attendais presque à voir se hérisser ses cheveux, cracher et sortir ses griffes mais cela ne se réalisa pas. Une fois le moment de surprise passé, elle prit la pose à la fois effrontée, sensuelle et provocante, le poing sur la taille et le sac négligemment tenu suspendu en l'air de l'autre main.
Elle fit exactement comme je venais de le faire et que je le refaisais à nouveau, me détaillant de haut en bas, pas le moins du monde perturbée d'avoir été surprise ainsi.
« Non mais… Si vous en avez une, je serai ravie de la partager ! »
Je pense que si nous avions été des personnages de Tex Avery, ma bouche se serait ouverte et et mon menton aurait touché le sol d'étonnement. J'arrivais à refermer mes mâchoires et à ne faire que sourire puis à reprendre mon sérieux malgré mon énorme envie d'éclater de rire.
C'était sans aucun doutes une professionnelle du cambriolage, mais son costume n'était pas vraiment à la hauteur des prouesses qu'elle avait développé pour arriver jusqu'ici. On aurait dit une tenue faite de bric et de broc chinés dans sa penderie et un masque fait maison tout assez utile pour brouiller les pistes d'un gardien myope. Le tout n'était cependant pas désagréable à regarder et son sourire malicieux lui donnait un petit air coquin des plus charmant si ce n'était les circonstances.
J'étais presque gêné de l'avoir dérangé, mais en même temps  assez content d'être là face à elle. Je n'aurais en fait voulu manquer cette apparition pour rien au monde.
J'étais tranquillement en train de faire un petit tour dans le coin quand j'ai rencontré votre filin entre ce bâtiment et son voisin ... J'ai du coup laissé une trace indélébile contre la façade d'un autre en le percutant et il s'est brisé en deux sous le choc ...
Je surveillais ses faits et gestes en lui parlant. Même si sa tenue n'était pas des plus évoluées, elle devait avoir des ressources pour être arrivée jusque là. Rien que sa volte-face d'à l'instant lorsqu'elle s'était sentie surprise m'avait donné la preuve de facultés physiques aiguisées, à part l'ouïe peut être. Je montrais le plafond de mon pouce et poursuivais :
Votre voie de replis est donc fermée de ce côté là, je suis désolé pour vous ... Dis je d'un ton ennuyé pour elle avec une légère pointe de moquerie derrière.
Je m'accoudais négligemment contre le bâti de la porte, la jouant cool tout en étant en alerte et poursuivis d'un ton fataliste :
J'ai suivi vos traces et me voilà ... Pizza mise à part, vous vous doutez bien que je ne peux pas vous laisser faire ..."
Je montrais le coffre d'un mouvement du menton :
Je veux bien vous proposer un deal, vous remettez tout en place et je vous raccompagne dehors de l'autre côté, ou ...
Je lui fis mon plus beau sourire en me redressant :
Ou je remets tout cela moi même et je vous livre aux autorités ... ça serait dommage ... Mais c'est mon boulot en quelque sorte ...
Je m'amusais un peu au chat et à la souris, mais en fait, je n'avais pas vraiment envie de la faire coffrer. Arrêter des grosses pointures, des caïds, des super vilains avec pleins de pouvoirs qui en veulent à la planète, là c'était ma conception du job, mais chopper et livrer un cambrioleur quelconque, ou une cambrioleuse, ne me donnerait aucune satisfaction. C'était bon quand j'étais jeune et pur, plus aujourd'hui. Et puis, combien de ceux que j'avais arrêté à mes débuts avaient ils retrouvé le droit chemin après ? 1% ? 2% ? Guère plus ... La prison n'apportait rien de bon pour l'être humain et le petit voleur d'un jour ne faisait qu'y devenir pire qu'à son entrée ... La peur et l'octrois d'une deuxième chance faisaient souvent bien mieux que des barreaux à la fenêtre et une combinaison orange ... Cette pensée m'invita à lui sortir une dernière boutade :
Je ne crois pas que le orange irait à votre teint ... Je la regardais attentivement et très sérieusement Non, ça ne vous irait pas du tout ...

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MessageSujet: Re: Une chatte Noire près d'un coffre brulant (Nova/Felicia)   Une chatte Noire près d'un coffre brulant (Nova/Felicia) Clock10Mar 28 Juil - 17:54


épisode 1 :

une chatte noire près d'un coffre brûlant

Félicia Hardy
&

Richard Rider

Sa seule réponse fut de m’expliquer comment il était arrivé là, manière qui me laissait bien comprendre qu’il m’était impossible de m’échapper en réalité… « J'étais tranquillement en train de faire un petit tour dans le coin quand j'ai rencontré votre filin entre ce bâtiment et son voisin ... J'ai du coup laissé une trace indélébile contre la façade d'un autre en le percutant et il s'est brisé en deux sous le choc ... » dit-il tout en me scrutant du regard. Je sentais ses yeux me serrer et glisser sur moi. Il ajouta : « Votre voie de replis est donc fermée de ce côté là, je suis désolé pour vous ... » Attends… Sérieusement ? Tu es vraiment désolé pour moi ? Non, je n’y crois pas une seconde ! Piéger des voleurs et des criminels de haut niveau, c’est le pied des super-héros. Et toi, mon cher Nova, tu ne feras pas exception, même si je sais que je n’ai pas un niveau aussi élevé que les super-vilains qui nous entourent… ! Il fini enfin sa petite histoire : « J'ai suivi vos traces et me voilà ... Pizza mise à part, vous vous doutez bien que je ne peux pas vous laisser faire ... » Ayant pour seul réaction un relevé d’un seul sourcil, je voulu lui faire comprendre que chacun de mes obstacles, de quelque niveau que ce soit, n’allait pas m’oublier. Même si je n’avais pas mes chances contre lui ! C’était peut-être un peu défiant de ma part, mais mon père m’a toujours appris à ne jamais baisser les bras. J’ai un objectif et je dois tout faire pour l’atteindre ! Peut importe quelle arme je dois utiliser. Et en parlant d’arme…

Mon interlocuteur-justicier vint me proposer ceci : « Je veux bien vous proposer un deal, vous remettez tout en place et je vous raccompagne dehors de l'autre côté, ou ... Ou je remets tout cela moi même et je vous livre aux autorités ... ça serait dommage ... Mais c'est mon boulot en quelque sorte ... » il termina alors par : « Je ne crois pas que le orange irait à votre teint ... Non, ça ne vous irait pas du tout ... » m’analysant encore de la tête aux pieds.

Rabaissant ce sourcil défiant, un sourire en coin et un peu malicieux vint le remplacer. Me redressant, je fis quelques pas lents dans une démarche plutôt sensuelle et sexy en m’avançant vers lui pour m’arrêter à 30 centimètre précisément. C’est la distance qu’il faut pour permettre de faire de sa personne, une percée dans la bulle intime de l’autre et en y imposant sa présence d’une façon oppressante. Plongeant mon regard dans le sien encadré par son masque, je répliquai à mon tour : « Franchement Nova ? Vous allez réellement perdre votre temps à coffrer une cambrioleuse de bas-étage et désarmée qui à volé tout au plus… 10 000 dollars de bijoux ? » Qu’est-ce que c’était que 10 000 dollars pour un bijoutier qui devait protéger des millions dans ses coffres pensais-je ?!! Mais cette stratégie n’avait que rarement fait ses preuves. Le mettre face à cette ridicule évidence de l’instant, ne servirait pas à grand-chose. Mais je ne baissai pas les bras. Très lentement, je mis ma main sur son torse et ajoutai : « Vous ne me feriez quand même pas l’affront de me forcer à porter cette tenue orange n’est-ce pas ?! Vous ne voudriez pas me voir ainsi ?!! Le noir me va si bien… ! » dis-je avec une moue presque angélique.




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MessageSujet: Re: Une chatte Noire près d'un coffre brulant (Nova/Felicia)   Une chatte Noire près d'un coffre brulant (Nova/Felicia) Clock10Mar 4 Aoû - 10:42

Une chatte Noire près d'un coffre brulant (Nova/Felicia) Tumblr_mwf2n7qKCC1qgslj0o9_r1_250Une chatte Noire près d'un coffre brulant (Nova/Felicia) Tumblr_mw81xxLjKY1qbh2jco2_r2_500


Ma cambrioleuse m'avait écouté sagement avortant ses réactions à mes propos qui ne la trahissaient que par des micros mouvements de son visage et les changements d'éclats dans ses yeux d'un vert lumineux. Elle se mit en mouvement enfin, et s'avança vers moi d'une démarche chaloupée et ravageuse, enfin c'est ce qu'elle voulait obtenir pour me charmer telle une chatte venant se frotter à mes jambes tout en se préparent sans doute à me lancer un coup de griffe au bon moment. Elle était vraiment magnifique et je profitais de ce moment avec un plaisir certain. Les circonstances auraient été autre, j'aurais invariablement succombé à ses charmes, mais là, je savais à quoi m'attendre. Elle était acculée et utilisait tous ses charmes pour me tromper et me surprendre ...
Elle s'arrêta toute proche de moi, très proche. Elle était vraiment sublime ainsi déguisée et grande, suffisamment pour n'avoir qu'à lever à peine les yeux pour les planter dans les miens.
De minuscules paillettes d'or en étoilaient les iris d'un vert profond et en rehaussaient l'attrait et ses lèvres pulpeuses où un petit sourire restait toujours présent appelaient les baisers. Irrésistible vraiment ma cambrioleuse ! Et elle le savait ... Comme la pomme sur l'arbre et le murmure du serpent à l'oreille vous invitant à la cueillir et à croquer dedans.
« Franchement Nova ? Vous allez réellement perdre votre temps à coffrer une cambrioleuse de bas-étage et désarmée qui à volé tout au plus… 10 000 dollars de bijoux  »
Là je fus vraiment surpris! Elle connaissait mon nom ! Donc, elle savait bien à qui elle avait affaire. L'instant de surprise passé, je lui souris en lui rendant ses regards, mes émotions bien protégées derrière mon casque.
10 000 Dollars !?! C'était même pas la moitié de la valeur de ce qu'elle tenait à la main dans son petit sac ... Elle posa sa main sur mon torse, préparant le coup final, investissant mon espace vital définitivement, croyant faire s'effondrer mes dernières défenses émotionnelles.
«Vous ne me feriez quand même pas l’affront de me forcer à porter cette tenue orange n’est-ce pas ?! Vous ne voudriez pas me voir ainsi ?!! Le noir me va si bien… ! »
Encore une fois je dus faire un effort surhumain pour garder mon sérieux face à son air de petite fille repentie qu'on vient de prendre la main dans le sac, dans le coffre devrais je dire.
La légère pression de sa main sur ma poitrine ne me laissait pourtant pas totalement de bois et je sentais sa chaleur diffuser au travers grâce aux prouesses de la technologie Xandarienne.
Jouant le jeu, je mis doucement mes main sur sa taille, comme si j'allais l'enlacer...
Je ... Commençais je d'un air troublé. Vous êtes effectivement très belle en noir ... Ses lèvres et ses yeux étaient autant de pêchers qu'on mettait sur la route des hommes pour les tenter.
Je ... Doucement, je rapprochais mon visage du sien, obliquant la tête sur le côté pour permettre à nos bouches d'échanger un baiser. Sous mes mains je sentis ses muscles frémir et décidais de passer à l'action avant elle. Une impulsion brève je lui envoyais un décharge de paralysant. Cette arme avait été mise au point lors de la guerre contre les Skrulls pour capturer des prisonniers vivants afin de les interroger. Avant, dès qu'on en avait eut un, il s'auto-détruisait en une simple impulsion du cerveau.
Ce rayonnement, que je pouvais projeter loin de moi comme tout autre mais aussi diffuser par contact, empêchait le système central de la cible d'ordonner toute action pendant 13 secondes. C'est avec cette arme détournée que les Skrulls nous avaient défaits ensuite pendant des mois et décimés, jusqu'à ce que les chercheurs aient trouvé la parade dont j'étais moi même doté. Je posais donc mes lèvres doucement et chastement sur les siennes, savourant ce moment voluptueux alors qu'elle ne pouvait maintenant plus réagir, incapable de faire le moindre mouvement pendant ces 11 prochaines secondes que je mis à profit pour régler la situation pacifiquement.
Je l'appuyais contre la parois de la pièce afin qu'elle ne tombe pas, lui prenais des mains son sac contenant une partie de ses rapines, allais jusqu'au coffre où je le vidais en vrac ainsi que tous les autres, puis, après avoir sélectionné trois belles pierres, je refermais la porte et la soudais d'un simple impulsion. Le propriétaire aurait la surprise demain matin et devrait faire appel à un chalumeau pour l'ouvrir, mais à part un nouveau coffre et ces trois cailloux prélevés, les pertes seraient vraiment minimes pour lui.
Il me restais 3 secondes avant que ma proie ne soit libérée, sans doute furieuse, et j'en profitais pour mettre toutes ses affaires dans un seul sac et pour revenir vers elle le sourire aux lèvres, tenant dans mon poing serré trois beaux diamants, un bleu, un clair et un jaune, d'une valeur dépassant à eux seuls les fameux 10 000 Dollars qu'elle annonçait tantôt.
Comme je le disais à l'instant, je vous trouve très belle ainsi et je ne pouvais vous imaginer en orange effectivement ... Je vous ramène ? Je m'attendais à la pire explosion de fureur de l'histoire de ces lieux. Ma belle dame monte en l'air devait être furieuse contre moi, mais cette fureur la rendrait encore plus jolie à mes yeux. En d'autres circonstances, d'autres lieux, ... Ne rêvons pas! Jamais Richard Rider ne se serait approché à moins d'un kilomètre d'une aussi belle femme et lui et Nova avaient dans leur coeur cet antidote permanent du souvenir et de l'oubli. Comment aimer quand on ne s'aime pas sois même ?
Au fait, vous me connaissez semble t il, et j'en suis honoré, mais quel est donc votre nom ? Je peux savoir ...
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MessageSujet: Re: Une chatte Noire près d'un coffre brulant (Nova/Felicia)   Une chatte Noire près d'un coffre brulant (Nova/Felicia) Clock10Sam 8 Aoû - 12:19


épisode 1 :

une chatte noire près d'un coffre brûlant

Félicia Hardy
&

Richard Rider
Alors que j’avais ma main sur son torse, l’une des mes armes les plus ravageuses pointée directement sur son cœur. Je sais que la nature a fait de moi un être humain qui se voulait jugé ‘beau’ par les règles esthétiques que l’être humain de cette société s’était lui-même imposés. Du coup, se servir de cette beauté comme étant une arme était la meilleure chose qui puisse m’être accordé ! J’en ai bluffé plus d’un de cette façon, mais on m’a également trompé plusieurs fois à cause de ça… Car la beauté est mère de compétition… Naturellement !
J’avais donc ma main sur lui, perçant ainsi sa bulle personnelle et entrant alors dans une espèce de supériorité car, qui impose sa présence, à la main. Mais c’était sans compter la ruse de mon ennemi… Visiblement, ce n’était pas la première fois qu’il se retrouvait face à un adversaire de mon style… Une séductrice. Moi qui pensais que tous les hommes étaient les esclaves de leurs bas-instincts, c’était là-dessus que je jouais souvent. Mes sentiments amoureux étant totalement enfuis depuis le jour où j’ai tué mon propre amant, qui n’avait pas suivi mon plan. Je me suis juré de ne plus jamais aimer quelqu’un. Aimer pour moi, est encore plus dangereux que de séduire. À tous les coups, l’autre meurt sous les jougs de mon amour…

Même sous sa combinaison de super-héros, je voyais, je percevais les traits de son visage changer, comme s’il était en train de devenir ma victime. Et j’aimais ça. J’étais persuadée que j’allais l’avoir… D’ailleurs, troublé il m’avoua que j’étais effectivement très belle en noir, après avoir mis ses mains sur ma taille. Il rapprocha son visage du mien et j’étais prête à gagner, lorsque je sentis cette impulsion sur mes hanches. Tous mes muscles frémirent sans pour autant vibrer violement… D’un côté, c’était encore assez doux comme sensation mais le seul souci qui se posait, c’était que je n’étais plus maître de moi. Alors qu’il était sur le point de succomber, j’avais fermé les yeux pour l’embrasser sauf qu’au moment de son attaque, j’avais ouvert les yeux d’étonnement et l’avait regardé m’embrasser sans que je puisse rien y faire. Quel salopard… ! Il venait de parer mon attaque en jouant effectivement l’homme séduit alors que, pas du tout ! Comment a-t-il pu deviner ?!

Alors que tous mes muscles se relâchèrent, il vint me coincer contre la paroi de la pièce, histoire que je ne tombe pas sur le sol, tel un pauvre lambeau, un légume qui n’était plus capable de bouger… Il me prit mon sac des mains et là, ma rage se déclencha. Sous mes yeux, il remit tout mon trésor là où je l’avais pris ! Je ne pouvais strictement rien faire alors que ce n’était pas l’envie qui m’en manquait. Ma rage pouvait se lire dans mes yeux alors qu’eux aussi étaient paralysés. Je faisais tout ce que je pouvais, j’y mettais toutes mes forces, tous mes efforts possibles à tenter de bouger un seul petit doigt pour l’empêcher de me faire un tel affront ! Mais rien n’y faisait… Sa technologie m’avait dépassée et dépossédée de mon propre corps. J’étais en train de le haïr pendant ces secondes d’affreux spectacle !

Après ça, il revint vers moi, un sourire satisfait aux lèvres avec mes affaires dans un sac. « Comme je le disais à l'instant, je vous trouve très belle ainsi et je ne pouvais vous imaginer en orange effectivement ... Je vous ramène ? » J’avais juste une envie, c’était de lui cracher ma haine à la figure… Mais je n’en fis rien. Affaiblie par cette décharge, je commençais tout doucement à retrouver des sensations dans mes mains. Je fis tout ce que je pu pour me redresser malgré-moi et ayant la respiration un peu saccadée, essoufflée par cette pause de vie de 13 secondes, je plongeai mon regard noir dans ses yeux. Ce gars-là allait mourir pour ce qu’il avait osé faire ! Je voulu lui envoyer un coup de poing en serrant mes doigts, faisant craquer le cuir de mes gants, mais je me ravisai aussitôt. Ce n’était pas la peine que je me batte contre lui. Avec une telle technologie, je n’avais pas la moindre chance… ! Ma seule réponse, fut un faible : « Va te faire foutre ! »

Mon corps commença enfin à se réveiller entièrement. Je pu enfin lever ma main jusqu’à ma poitrine pour tenter de mieux respirer. Pas une seconde je n’avais quitté mon bourreau des yeux et il me demanda alors mon nom. J’affichai un sourire plutôt moqueur et je lui répondis un peu vulgairement : « Qu’est-ce que ça peut te faire ? De toute façon, je ne t’intéresse pas ! … » Dis-je alors, en regardant mes affaires qu’il avait entre ses doigts. Sans attendre, je mis ma main sur mon sac qu’il avait et le pris de ses mains, vexée qu’il ait empêché mon casse. Puis, un peu titubant, ma main toujours sur ma poitrine, je pris la direction de ma sortie… J’étais déjà en train de réfléchir au prochain casse que j’allais devoir faire par sa faute. Non mais ! Me péter un plan pareil… Franchement !!



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MessageSujet: Re: Une chatte Noire près d'un coffre brulant (Nova/Felicia)   Une chatte Noire près d'un coffre brulant (Nova/Felicia) Clock10Mar 11 Aoû - 11:08

Une chatte Noire près d'un coffre brulant (Nova/Felicia) Tumblr_mwf2n7qKCC1qgslj0o9_r1_250Une chatte Noire près d'un coffre brulant (Nova/Felicia) Colere_de_chat_poster-r0fef77b5836643a286483a2a9b74774c_w2q_8byvr_324


Ma cambrioleuse n'était pas contente, mais alors pas du tout ! L'effet paralysant s'estompant, elle m'arracha ses affaires des mains et me cracha à la figure «Qu’est-ce que ça peut te faire ? De toute façon, je ne t’intéresse pas ! » avant de faire demi tour et de quitter les lieux d'un pas encore mal assuré.
J'étais un peu estomaqué. En gros, ce n'était pas tant le fait que je l'ai empêché de jouir de son butin qui la mettait le plus en colère, c'était que je n'avais pas cédé à son charme et que je l'avais plus ou moins dupé à son propre jeu... Amusant non ?
En 3 enjambées je la rattrapais et la plaquais contre le mur du couloir pour l'empêcher de continuer avant qu'elle ne se blesse en faisant un faux mouvement encore sous l'emprise de mon rayonnement :
Vous, ..., tu ne m'intéresses pas ? Qu'est ce qui te fais dire cela ? ... Je la maintenais fermement quelques instants jusqu'à ce que je sois sur qu'elle soit en pleine possession de ses moyens. Mais qu'elle était jolie ! De noir ainsi vêtue, furieuse jusqu'au bout des ongles et avec ce regard tueur qui ne voulait que me transformer en une chose peu ragoutante ... Une envie de re déposer un baiser sur ses lèvres, rien que par boutade et par envie aussi me prit, mais j'y résistais et lui souris un peu taquin.  Je reculais prestement pour éviter une attaque à mon intégrité physique tout en lui prenant la main pour y déposer les 3 pierres avant de la refermer sur elles :
Dédommagement ... Puis me dirigeais vers les ascenseurs et ouvrais de force l'une des 2 doubles portes ... Je jetais un oeil dedans et constatant que la voie était libre jusqu'en haut et je tendis la main vers elle en lui faisant signe :
Tu devrais ramasser ton matériel rapidement, je t'offre le transport jusqu'en haut si tu veux ... Je lui montrais du regard les occulteurs de caméras ...
Spoiler:
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MessageSujet: Re: Une chatte Noire près d'un coffre brulant (Nova/Felicia)   Une chatte Noire près d'un coffre brulant (Nova/Felicia) Clock10Jeu 13 Aoû - 15:24

Spoiler:

épisode 1 :

une chatte noire près d'un coffre brûlant

Félicia Hardy
&

Richard Rider
Il ne fallait pas avoir fait des études de psychologue pour savoir à quel point j’étais fâchée contre ce trouble-fête… En réalité, j’étais plutôt contrariée d’avoir été dérangée pour cette mission et de n’avoir pas sur la mener à bien, en utilisant une de mes armes la plus redoutable : mon corps. En effet, la séduction est un atout que je maîtrise parfaitement bien ! La preuve, c’est que j’ai pu faire taire certains témoins de cette façon… En même temps, j’ai la chance de représenter nombreux fantasmes masculins (et féminins, il ne fait pas croire, mais les filles savent très bien ce qu’elles veulent. Et entre-nous, je ne suis pas difficile, je mange de tout…) !

Nova me rattrapa bien rapidement, alors que j’étais en train de reprendre le chemin du retour… Ce n’était pas sorcier de rattraper une pauvre fille titubant encore sous l’effet d’une décharge paralysante… Il m’attrapa et me plaqua à nouveau contre le mur le plus proche. Mais c’est une manie chez lui ?! Un peu perdu et me tenant fermement, il me dit : «Vous, ..., tu ne m'intéresses pas ? Qu'est ce qui te fais dire cela ? ... » Je le regardai avec des yeux traduisant d’un certain étonnant qui voulait tout bonnement dire : « Heu… je dois te faire un dessin ?! » Il me prit ensuite la main pour y glisser trois bête cailloux… Dédommagement ? T’es sérieux là ?! T’appel ça un dédommagement ?!! Moi j’appel plutôt ça un pourboire ! Et encore, limite !... J’étais vexée… Néanmoins, en regardant dans ma main, j’analysai très rapidement la valeur qui était dans ma paume… Mouais. Il se fiche de moi, maintenant j’en suis sur…. Il avait fait exprès de me refiler exactement la somme que j’avais prétendu avoir volé dans le coffre… Alors comme ça, monsieur Nova n’est pas à cent pour cent un justicier honnête ?! … Il vole ?!! Mais quelle honte !!! En tant que Super-Héros, si nous avions été filmés, il était clair qu’il aurait perdu toute crédibilité. Du coup, c’est à ce moment là que je réalisai que finalement, je l’avais peut-être marqué d’une certaine façon, pour qu’il envers moi, cette attention… ?

Il ouvrit de force l’une des deux portes de l’ascenseur. Il prit ses précautions en regardant si la voie était libre et il me tendit la main en me lançant : « Tu devrais ramasser ton matériel rapidement, je t'offre le transport jusqu'en haut si tu veux ... » Ayant toujours la paume de la main ouverte sur les pierres, je la refermai et mon sourire se fit en coin. Je me décollai du mur pour passer devant lui, telle une dame sans même daigner lui prendre la main. Je regardai alors à mon tour, dans la cage de l’ascenseur, vers le haut… Ce gars-là, il vole. Toi ma fille, tu grimpe… Alors, quel est le meilleur choix à faire en sachant que tu n’as pas encore récupérer toutes tes capacités physiques… ?

Je regardai alors vers mon trouble-fête et lui dit dans une énième taquinerie un peu ironique et surtout sarcastique : «  Pour ça, il faudrait que tu me porte…. » dis-je avec le sous-entendu le plus gros du monde et m’appuyant sur l’autre porte, ne sachant pas encore tenir totalement debout sans tanguer et j’ajoutai : « Dis-moi pourquoi tu veux m’aider ? »




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MessageSujet: Re: Une chatte Noire près d'un coffre brulant (Nova/Felicia)   Une chatte Noire près d'un coffre brulant (Nova/Felicia) Clock10Lun 17 Aoû - 13:01

Une chatte Noire près d'un coffre brulant (Nova/Felicia) Tumblr_mwf2n7qKCC1qgslj0o9_r1_250Une chatte Noire près d'un coffre brulant (Nova/Felicia) 6f156f525558fa4f6cdd1782e05a32b8_large


J'évitais de laisser paraître trop mon amusement quand elle se libéra du soutient du mur et qu'elle me passa devant dédaigneusement avec des faux airs de grande dame offusquée pour venir jeter finalement un coup d'oeil à son tour dans le conduit de l'ascenseur.  Je voyais encore presque les rouages de son cerveau fonctionner et évaluer sa condition physique et mon offre :
« Pour ça, il faudrait que tu me portes ... » Finit elle par me lancer un peu moins vertement mais toujours contrariée semble t il en se tournant vers moi toute proche, si proche que je sentais le souffle de ses mots sortir de sa bouche aux lèvres si tentantes tout en prenant appuis sur le montant des portes encore pas totalement remise de l'étourdissement que je lui avais infligé; « Dis-moi pourquoi tu veux m’aider ? ... »
Je lui souriais encore énigmatique et passais mon bras autours de sa taille pour l'attirer et la plaquer fermement contre moi sans la quitter des yeux. N'avait elle pas dis oui par sa première remarque acerbe ? Je basculais en la tenant ainsi dans le vide et nous restions un instant en apesanteur sans bouger, goûtant à ce contact forcé mais au combien agréable de ce corps on ne peut plus féminin et finement musclé que je percevais sans problème au travers de ma combinaison comme si je n'avais été habillé que d'un vêtement de soie fine. Je regardais enfin vers le haut sans mot dire et gravissais en un instant les quelques étages qui nous séparaient du sommet, ouvrais d'une seule main la porte du dernier desservi et la re déposais presque à contre coeur sur la moquette du couloir :
Au début de ma carrière, lorsque j'étais jeune et idéaliste, je pensais que la prison pouvait remettre sur le droit chemin, ou du moins retenir enfermé les pires malfaiteurs et criminels ... Mais la vie m'a appris que ce type de solution n'était pas viable ... Et n'arrangeait rien en réalité ... J'appuyais sur le bouton d'appel et les portes derrière moi se refermèrent alors que je la quittais des yeux pour marcher tranquillement jusqu'au dernier escalier qui menait vers le toit. Je m'arrêtais sur les premières marches et me retournais alors :
Ces cailloux que je t'ai donné ne sont pas inscrits sur le manifeste ni sur ses cahiers officiels, il n'y a donc pas de crime à voler un escroc ... Il en sera juste pour ses frais pour faire ouvrir son coffre et le remplacer ... Un sourire sarcastique illuminait mon visage.
Je lui fit signe de me rejoindre, engageant :
Et je n'ai pas pu résister à l'appel de tes charmes ... Tu viens, je te dépose en face si tu veux ... Et je me retournais pour finir de gravir les marches et sortir à l'extérieur, l'attendant en gardant la porte ouverte en parfait gentleman.

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MessageSujet: Re: Une chatte Noire près d'un coffre brulant (Nova/Felicia)   Une chatte Noire près d'un coffre brulant (Nova/Felicia) Clock10Mar 3 Nov - 12:56

Spoiler:

épisode 1 :

une chatte noire près d'un coffre brûlant

Félicia Hardy
&

Richard Rider
Il m’attira alors contre lui, de ses bras serrés autour de ma taille, n’ayant plus aucun écart pudique entre nous. La proximité et la chaleur d’un corps humain était quelque chose qui me manquait, même si cela ne se peut gère se remarquer… Comme je l’ai dit plus haut, ma beauté et mes charmes sont parmi mes meilleures armes. Et on ne peut pas démontrer son affection avec des armes… Imaginez trente seconde que vous avez un pistolet en main et que vous courrez vers l’être humain qui vous est le plus proche…. Que croyez-vous qu’il ressente ? … Il faut que cet être vous connaisse par cœur et depuis longtemps pour savoir que le pistolet que vous avez en main est totalement inoffensif – en tout cas envers lui.  Donc, avec cet exemple, vous imagineriez bien à quel point le véritable amour est très difficile à trouver pour moi car, le pistolet que j’ai en main, ne sert qu’à attirer les mauvais garçons qui veulent simplement en profiter. Rien de très sérieux. Le coup de foudre ? Hahahahaha…. !

Une fois dans le vide, je regardai en bas et passa alors mes bras autour du coup de Nova. Lentement et en pleine confiance, le regardant avec un sourire amusé voir presque rassuré. Je sentais bien qu’il me tenait et qu’il n’allait pas me lâcher… En tout cas, il n’avait pas intérêt à le faire ! Sinon, il m’aurait déjà tué…
Il ouvrit la porte du dernier étage, me posant délicatement sur le sol et nous marchions alors vers les escaliers qui mènent au toit… Je dois bien avouer tituber encore quelque peu, mais le rythme et la cadence de marche me permettent de rester droite et de marcher plus ou moins normalement. Il me confia alors, en réponse à ma première question d’avant notre ascension : « Au début de ma carrière, lorsque j'étais jeune et idéaliste, je pensais que la prison pouvait remettre sur le droit chemin, ou du moins retenir enfermé les pires malfaiteurs et criminels ... Mais la vie m'a appris que ce type de solution n'était pas viable ... Et n'arrangeait rien en réalité ... » J’en conclu rapidement qu’il me prenait pour un malfaiteur et une criminelle… Je détournai le regard dans le vide, ne souriant plus. Presque vexée qu’il pense cela de moi. Si seulement il savait pourquoi je faisais tout ça… Un brin de nostalgie traversa rapidement mon esprit, mais attention Féli’ ! Faut rester concentrée ! T’es en présence d’un Super là, faut pas faire de faux pas…. Il ajouta : « Ces cailloux que je t'ai donné ne sont pas inscrits sur le manifeste ni sur ses cahiers officiels, il n'y a donc pas de crime à voler un escroc ... Il en sera juste pour ses frais pour faire ouvrir son coffre et le remplacer ... » J’ouvris la main pour les regarder. Comment pouvait-il savoir ce genre de chose ?!.... Je le regardai, suspicieuse et je vis un sourire sarcastique illuminer son visage.
Il m’invita alors à gravir les marches vers le toit avec lui en ajoutant : « Et je n'ai pas pu résister à l'appel de tes charmes ... Tu viens, je te dépose en face si tu veux ... » Là, un sourire en coin vint enfin illuminer mon regard. J’étais tout de même flattée par ce compliment car l’utilisation de cette arme, n’avait pas été très concluante lors de sa première utilisation contre lui… Le fait qu’il admette que je lui plaisais me rassurait et me fit tout de même plaisir. Je refermai le poing, enfermant les pierres précieuses pour les enfuir dans une poche cachée dans mon costume, au niveau de ma poitrine. Et oui ! C’est une bonne cachette… Puis, je gravis les escaliers jusqu’à lui pour sortir en sa compagnie, lui, me tenant la porte vers l’extérieur, où un courant d’air fit voler quelques mèches de cheveux. En passant devant lui, j’avais plongé mes yeux dans les siens, avec mon sourire charmeur et le remerciai silencieusement. Enfin, partiellement bien entendu, puisqu’il avait quand même pas mal bousillé mon plan de base.

« Avant de me déposer en face,….. Tu sais très bien que je risque de recommencer alors… Que se passera-t-il si tu me retombe dessus ? »




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MessageSujet: Re: Une chatte Noire près d'un coffre brulant (Nova/Felicia)   Une chatte Noire près d'un coffre brulant (Nova/Felicia) Clock10Mar 3 Nov - 15:49




Tenant la porte ouverte d'une main, je la regardais d'en haut et la vue était des plus ... plaisante, je l'avoue. Je la vis regarder dubitativement les pierres que je lui avais donné tantôt en dédommagement du dérangement et les enfouir dans quelque cachette bien féminine au niveau de la poitrine. Je souris en la voyant faire, cela me rappelait ma grand mère qui faisait de même avec son mouchoir et parfois un billet qu'elle voulait protéger de l'avidité d'un quelconque voleur de bourses, ou de mon grand père avant sa tournée des bars avec ses collègues le samedi. Au moins là, elles étaient sures que personne ne viendrait les reprendre sans qu'elles ne s'en aperçoivent...

Elle monta enfin vers moi, et passa la porte en me gratifiant d'un de ses sourires ravageurs qui avait sans doute en faire fondre plus d'un et dont j'aurais été la victime si je n'avais déjà été confronté à semblable performance dans le passé ... Mais il était quand même difficile d'y être insensible, la belle était des plus charmante et attirante ... Demandez à quelqu'un d'accroc au sucre n'ayant aucun problème de santé de passer dans une rue où les seules boutiques sont des pâtisseries sans y jeter un regard tiens ! Impossible !
Elle s'était avancé sur le toit un peu, le vent jouant avec ses cheveux, et se retourna alors que je lâchais la porte qui se referma doucement toute seule et que j'allais lui emboîter le pas.
« Avant de me déposer en face,….. Tu sais très bien que je risque de recommencer alors… Que se passera-t-il si tu me retombe dessus ? »

D'abord surpris, j'éclatais ensuite de rire bien involontairement puis arrivais à reprendre mon sérieux avec bien du mal. Ah les femmes ! Dis je en réponse tout en la prenant dans mes bras d'autorité, l'un passé sous son bras gauche, l'autre à hauteur de ses genoux. La tenant ainsi fermement, je décollais doucement de quelques centimètres tout en ne la quittant pas des yeux. Suspendu en l'air, je fermais à demi les yeux, ce qui devait se voir au travers des vitrages de mon casque, et fit une moue indiquant que je réfléchissais intensément à la question :
Ce que je ferais si je devais te prendre à nouveau la main dans le sac ... Répétais je songeusement ... Ce que je ferais si je devais te prendre à nouveau la main dans le sac ... Dis je enfin avec un ton malicieux en lui souriant. D'abord, je pense que je ne te prendrais plus la main dans le sac à moins que tu ne le veuilles ... Tu es trop maligne pour faire deux fois la même erreur comme laisser un câble tendu au travers des rues par exemple ... Lentement, je commençais la traversée de la rue, l'air de rien. Je ne savais même pas si elle s'était rendue compte que nous étions suspendus à plus de 50m du sol et qu'en dessous de nous grouillait la vie de centaines de voitures et de gens sur les trottoirs.
Ensuite, si tu devais à nouveau me faire le coup du câble, là je serais moins complaisant, les représailles seront terribles ! J'avais dit ces derniers mots d'une voix que je voulais terrible, faisant rouler les "R" pour lui donner plus de poids, mais je ne pouvais m'empêcher de sourire finalement ... Disons que je ferais comme aujourd'hui, mais qu'arrivé ici, je te fausserais compagnie ... Là mon air taquin avait pris le dessus ... Mais pour cette fois, je te pardonnerais tes manières de cambrioleuse, surtout que j'y perçois quelques onces de robin des bois ..., voilà, Mademoiselle est arrivée ... Ajoutais je enfin en la posant sur le toit d'où partais son filin initialement. C'est alors que je m'apercevais que si elle connaissait mon pseudonyme, je ne savais rien d'elle véritablement.
Mademoiselle comment déjà ?
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MessageSujet: Re: Une chatte Noire près d'un coffre brulant (Nova/Felicia)   Une chatte Noire près d'un coffre brulant (Nova/Felicia) Clock10Dim 13 Déc - 14:11


épisode 1 :

une chatte noire près d'un coffre brûlant

Félicia Hardy
&

Richard Rider
Se retrouvant sur le toit, en tête à tête avec le bruit de la ville à nos pieds, loin de toutes inquiétudes civiles, je lui avais demandé ce qu’il avait prévu pour moi si jamais il revenait à me remettre la main dessus, en pleine action, sachant parfaitement que je n’allais pas en rester là !
Il éclata de rire et il eut du mal à se reprendre… je soupirai, roulant les yeux vers le ciel. Je n’avais réellement pas l’impression d’être prise au sérieux ! Je n’avais pas arrêté de le faire rire ce soir et sincèrement, je commençai à croire que je n’avais aucune crédibilité à ses yeux…. Pourtant, s’il savait seulement qui, il avait en face de lui, il rirait moins… Mais soit. Qu’il continue de se moquer ! Ainsi, il ne se concentre pas sur ma véritable identité…

« Ah les femmes ! » Me dit-il en réponse à ses pensées… Il me prit dans ses bras, un sous le gauche et un autre au niveau de mes genoux et il m’emporta de quelques centimètres au-dessus du sol. Je n’avais plus peur en réalité et automatiquement, j’enroulai mes bras autour de son coup, ayant ma tête au creux de la sienne, me sentant instinctivement protégée. Je ne m’en rendis même pas comte, perdue dans son regard qui ne quittait pas le mien. Je devinais assez bien qu’il était en train de réfléchir à une réponse cohérente avec sa moralité, son devoir et … et quoi ? Pourquoi devait-il réfléchir autant ? Serait-il déstabilisé par la nature de sa cambrioleuse arrêtée ?? Les super-héros ne font-ils pas passer le devoir avant tout ? Et quand je dis tout, je parle bien sur des sentiments et des pulsions émotionnelles !

Il répéta ma question, histoire de se laisser le temps de réfléchir… Puis il me répondit enfin : « D'abord, je pense que je ne te prendrais plus la main dans le sac à moins que tu ne le veuilles ... Tu es trop maligne pour faire deux fois la même erreur comme laisser un câble tendu au travers des rues par exemple ... » Et à cette phrase, je lui souris sournoisement… Il était certain que j’avais envie de le revoir, mais pas réellement pour les mêmes raisons que ce soir. Séduire était l’une de mes activités préférées, mais bon. Il n’était pas insensible à mes charmes, mais son cœur appartient à la justice et non aux plaisirs charnels et simplement humains… Mais au moins, je savais parfaitement que la prochaine fois que je voulais qu’il vienne me trouver, il fallait que je laisse un câble tendu entre deux immeubles !

« Ensuite, si tu devais à nouveau me faire le coup du câble, là je serais moins complaisant, les représailles seront terribles ! » Ajouta-t-il en prenant une grosse voix qui se voulait plutôt diabolique. Mais tout ce qu’il réussit à faire, c’était m’extraire un petit soupire amusé. « Disons que je ferais comme aujourd'hui, mais qu'arrivé ici, je te fausserais compagnie ... » dit-il. Cela me laissait à penser qu’il ne me fausserait pas compagnie ce soir ? Avait-il quelque chose en tête… ? « Mais pour cette fois, je te pardonnerais tes manières de cambrioleuse, surtout que j'y perçois quelques onces de robin des bois ..., voilà, Mademoiselle est arrivée ... » Finit-il en me posant sur l’autre toit. Alors comme ça, il avait tout de même perçu une action du style Robin des bois ? Il n’en sait strictement rien et rien ne pouvait laisser penser à cela… Aurais-je dis ou fais quelque chose qui trahissait le but de mon cambriolage ? Je ne pense pas…. Ou alors j’ai été méchamment distraite ! « Mademoiselle comment déjà ? » Souriant, je savais parfaitement que je ne lui avais pas révélé mon identité, à aucun moment… Bien essayé mon beau ! Je souris et croisai les bras en le regardant : « Black Cat… » Dis-je. Et oui ! En tant qu’héros, je connaissais son pseudonyme et pas son identité secrète alors… Il n’y avait pas de raison que je lui révèle la mienne !

Je lui fis face, en me rapprochant de lui et en prenant son visage entre mes mains : « Merci pour cette petite balade dans les airs, Nova. » Puis je lui déposai un léger baiser sur ses lèvres en gage de remerciement. Il était évident bien entendu que je voulais prolonger cette soirée en bonne compagnie, mais je m’attaquais à un gros morceau… Sachant d’avance qu’il allait refuser. Reculant, je lui souris en le regardant dans les yeux, au travers de son masque et lui dit avant de ramasser mes câblages : « Je trouve ça quand même dommage que tu ne veuilles pas me raccompagner chez moi… La soirée serait tellement plus…. Intéressante ! ... » ajoutai-je en insistant sur le dernier mot. J’étais bien évidement prête à lui révéler l’endroit où je me cachais si c’était pour l’avoir dans ma poche.



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MessageSujet: Re: Une chatte Noire près d'un coffre brulant (Nova/Felicia)   Une chatte Noire près d'un coffre brulant (Nova/Felicia) Clock10Mer 16 Déc - 15:24



Elle me fit la réponse du berger à la bergère, enfin non, le contraire plutôt. Donc, son "nom de guerre" était "Black Cat" ... Pas mal choisi, tout à fait dans le style qu'elle se donnait et de sa façon d'être. Elle m'avait déjà montré ce à quoi on pouvait s'attendre d'elle plusieurs fois depuis que je l'avais interrompue pendant son cambriolage chez ce marchant de pierres peu scrupuleux, et je me doutais bien qu'elle n'avait pas abattu toutes ses cartes ni dévoilé toutes ses armes, même si avec moi, elle usait plus volontiers de ses charmes, qui étaient plus qu'évidents au demeurant et auxquels je n'étais pas si indifférents que ça, que de solutions violentes ... Mais j'étais sur mes gardes, on ne devient pas "Black Cat" en cueillant des pâquerettes ni en dispensant des faveurs à tout va ...

Sans que je puisse rien y faire tant cela me surprit, un peu comme le coup de patte du chat qu'on chatouille sous le menton, elle franchit soudainement l'espace qui nous séparait et me prit le visage, enfin le casque dans ses main,  « Merci pour cette petite balade dans les airs, Nova. » dit elle  pour finalement embrasser brièvement mes lèvres ... Si elle avait vu mes yeux, bénies soient les verrières légèrement fumées, elle aurait éclaté de rire. Heureusement, je repris mes esprits et ne laissais rien paraître alors qu'elle reculait puis me scrutait un instant avant de se mettre à ramasser son matériel.
« Je trouve ça quand même dommage que tu ne veuilles pas me raccompagner chez moi… La soirée serait tellement plus…. Intéressante ! ... »
Elle ne manquait pas de culot et n'avait pas froid aux yeux la petite chatte noire dis donc !

Non seulement elle m'avait littéralement fauché en plein vol avec son câble tendu entre les deux buildings, et heureusement que c'était moi car cela aurait pu être un hélicoptère de la police ou des secours passant malencontreusement par là, non seulement je l'ai surprise la main dans le coffre et j'ai été assez magnanime pour ne pas l'attraper par le col de son costume et l'emmener au commissariat le plus proche mais qu'au contraire je lui ai donné 3 des cailloux qu'elle convoitait et je l'ai ramenée à son point de départ, mais voilà maintenant qu'elle me fait du rentre dedans ! Et pas qu'un peu ! Le monde où j'étais revenu avait décidément bien changé !
Je reculais instinctivement d'un pas tout en l'observant réunir ses affaires. C'est vrai qu'elle était jolie, et la combinaison moulante ne gâchait rien du paysage, au contraire. Tout ce qu'il faut là où il faut, rien à signaler si ce n'est l'échancrure qui laissait deviner le galbe d'un sein ferme et crémeux quand elle se baissait bien dans mon axe de vision, à croire qu'elle le faisait exprès. J'étais indécis, son invitation me tentais, non seulement pour savoir où elle résidait, bien que j'avais déjà plus ou moins cette adresse dans mon stock d'informations collectées par le Worldmind, mais aussi par la proposition à peine voilée qu'elle me faisait. Cela faisait bien longtemps que je faisais abstinence, forcée ou volontaire, mais ce n'était pas d'une soirée ou même d'une nuit avec une compagne fut elle féline et noire de surcroît dont j'avais besoin, dont j'aspirais secrètement la venue. Non ...
Et puis pour être honnête, "Black Cat" me faisait peur maintenant vue sous ces optiques là ... Une proposition aussi directe ne pouvait cacher qu'une trahison quelconque, on m'y avait pris, on ne m'y reprendrait plus ... Chat échaudé craint l'eau froide ne dit on pas ?
Elle avait enfin fourré son dernier morceau de câble dans son sac et me regardait ...
Je fis encore un pas en arrière, montant sur la margelle qui bordait le toit ...

Ta proposition est alléchante Black Cat, je suis tenté ... Mais mon éducation a été très stricte ... Ma mère m'a toujours dit que je ne devais pas aller chez une fille rencontrée dans la rue dès le premier rendez vous, ça n'est pas correct ...
Je reculais encore d'un pas et me retrouvais suspendu dans les airs.
Et puis honnêtement, j'ai peur de ne pouvoir résister bien longtemps à tes charmes et de te révéler mes propres petits secrets ... Dis je en lui souriant, parlant un peu plus fort à cause du bourdonnement du trafic en dessous de moi.
Fais bien attention à toi, et au prochain câble ! Si tu as besoin de moi, fait le 911 et demande Nova, je suis toujours à l'écoute ...
Et en un éclair, j'avais disparu haut dans le ciel, invisible ... J'avais raté une occasion, soit, mais mieux valait se méfier d'une si jolie cambrioleuse ...
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Une chatte Noire près d'un coffre brulant (Nova/Felicia)

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